2018

 

On prépare les travaux de remise en route :

Attention aux accus du bord ! (La comtesse)

Il faudra frotter le fond de la quille avec le fer de l’herminette.(La comtesse)

Le projet :

Préparation du bateau en mai, passage du détroit de Corinthe et transfert vers le golfe Saronique avec Bernard. (L’ovale)

Mi-juin vers ce même golfe puis transfert vers Dodécanèse. (Le rectangle)

Juillet-Août dans le Dodécanèse et hivernage à Leros.

Pendant cette hiver, réalisation de la maquette de principe (c’est à dire pas exacte au 20éme (échelle, pas siècle))

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Mai 2018

Le 18, départ d’Ancona pour Igoumenitsa (by ferry) avec la voiture pleine pour faire quelques travaux au chantier de Wolfgang à Ormos Gouras.

( Je vous fais Coucou du haut de la plateforme)

Mise à l’eau le samedi 19 et départ le dimanche 20.

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Passage du pont de Lefkadas et nuit au mouillage à Nigri.

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Etape Nigri vers Mésolonghi, puis vers Galaxhidi.

Départ de Galaxhidi. Des dauphins en cours de route venus écouter les sirènes et LE passage du détroit de Corinthe.(220€ quand même !)

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Après Corinthe, nuit et journée de voile sans vent à Kolfos.

Kolfos vers Aegine et mise au sec du bateau pour trois semaines …

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Ecologie

On (Jocelyne) m’a fait remarquer que les lignes ci-dessus étaient trop « descriptives »…

Plutôt que de faire des lignes sur la trilogie « Roue d’or/Crunch/Coca » de certains équipiers et comme nous avons eu la chance de voir des dauphins, j’ouvre une page " Ecolo " .

Nous avons vu deux types de dauphins : des dauphins communs

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( ou peut être des dauphins à bande blanche)

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et un grand dauphin …

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Nous avons vu avec Carole il y a quelques années un Globicéphale noir (j’ai même envoyé Carole voir avec le masque au cas où ce serait un requin … Et oui, à chacun ses lâchetés !

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On voit souvent des tortues (Dans les ports car la bouffe est facile).Photos de Michel en 2017.

Etape-4 (22 sur 25)

On a cru voir, au départ d’Hyères, un rorqual.

Pour plus de détails sur les bebettes, le site du GREC .(https://www.cetaces.org/cetaces/mediterranee/)

MAIS … la population méditerranéenne des mammifères marins a diminué de 40% sur les 10 dernières années.

La Méditerranée est la mer du monde la plus polluée par les plastiques … (https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/politique-mediterraneenne-de-la-france/proteger-la-mer-mediterranee/ et une foultitude d’ONG)

Sikinos et Alonnisos, deux îles grecques ont interdit tous les plastiques sur leur territoire (sacs, pailles, etc…).

Une start-up grecque finance les pécheurs pour récupérer les plastiques échoués.

Bon, on vous tiendra au courant de cet aspect.

Juin et début juillet : la route

On est revenu à Aegine, l’entretien du moteur a été fait.

On est parti vers Poros en faisant le tour de Agistri

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Baie tranquille, voisinage huppé (le troisième plus gros bateau de plaisance privé au monde appartenant au ministre des finances Quatari (Est-ce que les ministres des finances tapent dans la caisse ??????)

Et puis le vent s’est levé et on a dû partir jusqu’à Methana

Le lendemain, on arrive à Poros. C’est hyper touristique mais le port est tellement grand !Oui, il y a un peu (beaucoup) de fric (les annexes de bateaux sont beaucoup plus grosses que mon modeste bateau !) MAIS çà reste assez sympa.

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On récupère Patrice et Lorine.

Et on part pour Ermioni

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Puis Hydra…

Le port est toujours plein

Pas de voitures : transport par mules.

Le mouillage de Mandraki, plus sympa que le port.

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Puis Palaia Epidaurios pour deux nuits car on va visiter le site d’Epidaure. On se fait une oursinade.

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Retour vers Poros avec visite de la ville.

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On change d’équipage avec le départ de Lorine et Patrice et l’arrivée de Yannick et Jocelyne avec un jour de retard car les jonctions des ferries ont merdées.

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Départ de Poros pour Skithnos

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Puis Skithnos vers Paros

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Puis, comme il y a un peu de vent, Paros vers Naxos où on passe deux jours

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Puis Naxos vers Amorgos (Le grand Bleu)

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Puis Amorgos vers Levitha

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Puis Levitha vers Kalymnos

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Puis Kalymnos vers Kos.

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On reste à Kos la touristikos deux jours, Yannick et Jocelyne reprennent l’avion.

Route vers le nord et vers Kalymnos avec deux beaux mouillages et deux jours à Emborios

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Et arrivée à Leros pour mettre le bateau à terre pour deux semaines et prendre l’avion.

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La traversée de la mer Egée, les Cyclades et l’arrivée dans le Dodécanèse

De loin, on dirait de gros cailloux posés sur la mer !

De prés, c’est pareil.. Quoique !

D’abord, la mer est vide : pas beaucoup de bateaux et peu d’animaux (un dauphin, une tortue et des puffins). On croise un rail de gros bateau allant vers le Pyrée ou vers le tour du Péloponèse

Peu de voiliers en mer ou dans les ports. Une mer toute bleue (avec des points de couleurs : les sacs plastiques !)

Les ports sont sympas et cools. Nos amis grecs font payer les ports dans cette région (7€ avec eau et élec).

Les cailloux sont pelés mais ils sont décorés de milliers de terrasses abandonnées. Le travail fait pour aménager ces versants presque stériles (maintenant) et cultiver sur les terrasses est juste TITANESQUE!

Le régime crétois : t’as peu à bouffer et tu portes des cailloux du levée du soleil au couché !

Lire Braudel : la méditerranée tome 1 Les paysages et Tome 2 Les hommes

J’ai aimé particulièrement Naxos, Amorgos et Levitha.

Naxos

La ville est belle, bien que très touristique. Touristique dans la ville, prés des plages et sur le circuit que tous les loueurs de voitures et de scooters te conseillent. Si tu sors de là, pas beaucoup de monde.

La montagne est en vrai caillou, avec des chateaux, des cailloux, des grottes, des cailloux, des villages, des cailloux, du marbre… Tient un arbre !

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Amorgos

Bon, à vrai dire, on a passé une nuit au port, donc on connaît pas. Mais ambiance cool loin des circuits touristiques. Tu y viens parce que tu as envie d’y venir…

La ville haute est surplombée de moulins

Et puis, c’est là que « Le grand bleu » a été tourné… Bon, d’accord, maintenant les dauphins sont retraités e on en vit aucun mais voilà…

Levitha

Sur l’île, pas plus de cinq habitants : un berger-tavernier-gérant du port.
12 mouillages sur coffre (7€ la nuit).
Deux bateaux de pêcheurs.

C’est tout… Dès 21h, le silence…

Just call me Robinson !

DODECANESE : Juillet-Août-Septembre

Tours et détours dans le Dodécanèse…

Cette partie de la Grèce a une histoire mouvementée…

Certaines villes ont été des métropoles de la Grèce ancienne, des capitales des chevaliers de St Jean, puis abandonnées après la grande peste, ont été des plateformes commerciales des turcs, puis des villes nouvelles construites par les fascistes italiens, pour redevenir des ruines après les bombardements de la fin de la guerre 39-45 et sont maintenant des hameaux de 200 personnes en hiver et 6000 en été …

Nous avons commencé à deux, Carole et Gilles, de Léros à Chalki.

Nous y avons rejoint Maïté, Benoît, Titouan, Luce et Miette et nous y avons passé presque 15 jours, eux à terre et nous sur le bateau avec des moussaillons venant coucher à bord.

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Puis voyage vers Rhodes via Alimia avec un équipage complet.

– Dis Papatou, pourquoi tu manges pas ? – BlurpRaouff… Gloups ! »

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Nous les avons laissés à Rhodes pour revenir vers Kos prendre Manue et faire un tour au Nord jusqu’à Patmos.

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Puis retour à Kos pour prendre Michel et refaire la boucle vers Rhodes.

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Puis retour à Kos et Leros pour l’hivernage.

A part le guindeau complétement pourri changé à Kos, pas de problèmes techniques.

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On a fait beaucoup de voile car le Meltem a été régulier et constant : nuit calme puis force 3 à 9h, puis force 4 à midi, puis force 5 à 16h pour un retour à 4 vers 19h, suivi de quelques rafales au coucher du soleil … et ceci pendant deux mois !

Donc, un ris dans la grand voile et entre 5,5 nœuds et 7,5 nœuds au prés.

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Les îles

Patmos

Avec Manue, mi-août.

Un ensemble de criques et de mouillages… En août, face à Izmir, il y a du monde.

On a loué de brillants scooters pour visiter le ville haute. Saint Jean y aurait écrit « L’Apocalypse »… Soit c’est le Saint Jean apôtre (mais il aurait eu 98 ans à l’écriture), soit c’est Saint Jean le Presbyte …

Le texte étant un peu casse-couille, je penche pour Saint Jean le Presbyte (hommage à Desproges)

Cà a inspiré pas mal de gens ce texte ! C’est là qu’est donné le chiffre de la Bêêêête : 666.

Pour la musique : Bob Marley y fait référence dans Redemption song, Aphrodite child aussi dans son album 666, Iron Maiden en parle dans The number of the beast, idem Saviour machine, Enigma, même Charlebois …

Le hard métal rock serait-il le même sans Saint Jean ?

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Lipsi

Avec Manue mi-août.

On a juste passé un soir au mouillage… Donc, on a rien vu et il faudra qu’on y retourne

.

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Leros

Pour le moment, c’est la base d’ hivernage du bateau.

Au moins 5 mouillages parfaits…

L’île a été phénicienne, grecque, barbaresque, sous la domination des chevaliers de Saint-Jean, vénitienne, turque, italienne, puis grecque. La baie de Lakki a été une base navale italienne. Mussolini y avait une maison de vacances. La ville a été construite « modern style » en 1922. En 1944, les Anglais la défendent face aux Allemands dans une des batailles les plus dures de la Méditerranée.

Les militaires italiens avaient construits des hôpitaux dont des psychiatriques… Les colonels grecs ls ont utilisés pour « interner » des opposants. Les hôpitaux restent le plus gros employeur de l’île. Les italiens ont également construit une ville nouvelle dans les années 20.

Certains disent qu’il y a encore une nostalgie de fascisme italien et que lors de soirées arrosées, les chants mussoliniens et les main tendues vers le ciel existent encore…

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Kalymnos

C’est l’étape entre Leros et Kos. Plusieurs mouillages (Emborios à l’ouest et Vathi à l’est) et le port principal au sud.

C’était l’île des éponges. Les kalymnotes partaient 8 à 9 mois en mer sur des caïques pour aller sur les côtes de l’Egypte ou de la Tunisie et pêcher les éponges. Ils restent deux fabriques (touristiques), de vieux capitaines clodiquant sur le port (Descendre à -80 m sans paliers, çà casse les articulations)

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Kos

Avec Yannick et Jocelyne en juin, puis tous les deux en juillet, puis avec Manue en Août et avec Manue et Michel début septembre… L’aéroport a été le point d’arrivée ou de départ.

On s’est mis soit à la marina, soit au vieux port, soit au mouillage (agité) devant la ville.

Kos est très touristique car aéroport. Du tourisme anglo-saxon de masse : la fine fleur !!!
Tatouage sur peau rouge vif, vulgarité anglaise baignée à la bière devant les écrans diffusant Chelsea contre Arsenal. (Mon anglophobie ressortirait-elle ? Vivement qu’il ait obligation de visa…)

Kos a bien morflé en juillet 2017 avec un tremblement de terre (6.7 et 350 blessés).
Les quais du port sont défoncés, le chateau est fermé car il tombe, la mosquée est descendu d’un étage, idem pour l’église orthodoxe.

Les ruines grecques sont toujours en ruine et la maison romaine restaurée (reconstruite) par les italiens a tenu le choc

Avec Manue et Michel, visite de l’intérieur : source chaude avec massage caprin , puis sur les hauteurs l’ Asklepieion.

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Gyali

Une toute petite île de pierre ponce et d’obsidienne.

L’état a donné une concession pour l’exploitation de la pierre ponce (textile : le jean délavé, pharmacie : la charge des médocs, métallurgie : ponçage, etc). L’île est doucement grignotée par le capital !

Autour, de beaux rochers d’obsidienne (non signalés) au large…

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Nisyros

On a beaucoup aimé … Une île volcan (encore en activité) avec deux villages perchés au bord du cratère, un magnifique port, un village sympa en bord de mer. Un développement touristique qui reste acceptable (Les visiteurs viennent de Kos par bateau, visite le volcan et repartent)

Le volcan, les ports et villages.

L’histoire grecque : un complexe thermal commencé il y a 40 ans… jamais ouvert !

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Simi

On y a fait plusieurs passages et plusieurs nuits dans un mouillage au sud. On a fait un bref passage médical dans le port principal … Je n’ai jamais vu un tel bordel dans un port !

C’est une île touristique très prés de la Turquie (même que ton téléphone se met tout seul sur le réseau turc ! $$$$) mais c’est joli…

La spécialité : les crevettes.

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Khalki ou Halki

Ah… Khalki ! Bon, on avait un à priori positif car on allait être en famille mais quand même… Pas de voitures, des anglo-saxons discrets (un de leur rares avantages), de belles plages, un port sympa (8 bateaux au maxi), un village magnifique… Khalki pourrait être devenu Saint Tropez mais non! On y a passé presque deux semaines.

Tu te baignes dans le port (Eau propre à 28°C)… Ambiance cool… Restos presque pas chers…

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Jean-Claude : On n’est pas bien là ?
Pierrot : Si.
Jean-Claude : Paisible ? À la fraîche ? Décontracté du gland ? Et on bandera quand on aura envie de bander !

Gérard Depardieu, Patrick Dewaere, Les Valseuses (1974), écrit par Bertrand Blier & Philippe Dumarçay

Rhodes

Vaut le voyage même si c’est vachement touristique…

On a jamais pu aller dans le port de Mandraki (plein et réservé). Mais on peut mouiller au pied des remparts ou aller à la marina (prix exorbitants).

La ville des chevaliers (restaurée par Mussolini) a un charme particulier. C’est beau !

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Et à l’intérieur, la vallée des papillons : une vallée où vivent, attirés par l’odeur des liquidambars (des arbres),des milliers de papillons et des crabes.

Des villages côte sud sympas (on y reviendra)

Et les extraordinaires bains italiens.

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De belles rencontres:

« Atlantic » : réplique du bateau de Charly Barr qui a détenu le record de la traversée de l’Atlantique de 1905 à 1980… Au grand largue, il va très,trés vite!

Un joli 4 mats barques de croisière, Star Clipper.

Une vielle dame dans son jus : HD 1939 WLC…

Des dauphins.

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